La secrétaire générale du Parti des travailleurs algériens est emprisonnée depuis le mois de mai. Un rassemblement a eu lieu le 2 décembre devant le consulat d’Algérie à Nantes. J’y ai pris la parole au nom de la Gauche démocratique et sociale (GDS44).
A force de manifestations pacifiques, le peuple algérien a obtenu le départ du quasi moribond président Bouteflika. Mais la révolte populaire ne visait pas qu’un homme mais tout un « système » associant affairistes, officiers supérieurs et politiciens. Lire la suite…