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Gilets jaunes : mon interview sur FBLO

Écrit le 16 novembre 2018 par Éric Thouzeau

J’étais l’invité de France Bleu Loire-Océan ce vendredi 16 novembre. J’ai expliqué les raisons qui m’ont amené à annoncer que je me rendrai sur un des rassemblements prévus par « les gilets jaunes ». On peut sur ce sujet lire aussi : le 17, écouter et entendre la colère sociale.

 


2 Comments »

  1. Katia dit :

    Pas réussi à t’écouter mais j’ai lu ta prise de position. Je serai à La Réunion. Ici aussi les ronds points ont fleuri depuis quelques années…

  2. Oncle Fernand dit :

    Non, l’heure n’est plus aux blocages !!
    Il faut une restructuration au niveau national. Ensuite, il faut choisir les ‘‘cibles’’ et durcir les blocages.
    Non, ce n’est pas encore l’heure du dialogue ; le gouvernement entend ; mais il n’écoute pas !
    L’écologie est une priorité à moyen et long terme pour le gouvernement.
    Le pouvoir d’achat pour vivre est une urgence absolue pour les citoyens que nous sommes.

    Paris est une mauvaise cible, une souricière.
    Le seul combat qu’il sera donné de mener, ce fera contre les CRS et la Mobile.
    Les seules images qui en résulteront seront les casseurs, les affrontements et les dégradations.
    Or, l’objectif n’est pas d’entrer en conflit avec les forces de l’ordre qui ont, elles aussi, leurs problèmes en interne ; mais biens d’être écouté par le gouvernement.
    Ce dernier nous entend ; maintenant, il lui faut être attentif à ce que le peuple demande.
    Et pour être certain qu’il soit vraiment très attentif, il faut attirer son attention sur ce qu’il a de plus cher : ses rentrées d’argent constituées de taxes diverses et variées.
    Le combat doit se passer sur le territoire ; sur un terrain dont chacune et chacun connait les moindres recoins, les points stratégiques comme sa préfecture, sa sous préfectures, son centre des impôts ; chacune et chacun sait où sont situés les endroits névralgiques comme les nœuds routiers, les péages, les plates-formes logistiques, les gares, les ports, les aéroports, les terminaux pétroliers ou de fret, les raffineries ou les dépôts de carburant ou encore les établissements de jeux (gros pourvoyeur de l’état).
    Tout le monde sait où se trouvent les parkings payants ou les horodateurs ou les radars près de chez lui. La dégradation est un délit ; le masquage n’est pas une dégradation.

    Les actions doivent pouvoir se faire sans violence ni détérioration (c’est nous qui payons !).
    Le libre accès aux petits commerçants et aux marchés locaux est impératif (les commerçants et les artisans sont, comme nous, des victimes).
    La libre circulation des véhicules de secours et des transports scolaires doit être sans concession.
    Une bonne relation avec les médias locaux est primordiale.
    Une bonne relation avec les gendarmes locaux ou la police ne peux être que bénéfique pour tout le monde.

    La misère est muette comme le pouvoir est aveugle. Il faut que la voix des hommes sans-voix empêche les puissants de dormir. (Henri Grouès)

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