RSS Feed
  1. Plus que jamais défendre les services publics

    Écrit le 21 juin 2021 par Éric Thouzeau

    La CGT de Saumur (Union locale interprofessionnelle et syndicat des cheminots) a organisé le 21 juin un rassemblement pour la défense des services publics devant la gare de Saumur. Invité à y prendre la parole, je reproduis ci-dessous l’intervention que j’y ai faite.

    J’interviens au nom de la Gauche démocratique et sociale (GDS) un réseau de militantes et de militants qui mettent le « social au cœur » de leur action. Pour résumer rapidement, nous pensons que les salariés qui sont celles et ceux qui produisent les richesses n’en reçoivent pas la part qu’ils méritent. Lire la suite…


  2. Remettre au centre des débats la question sociale

    Écrit le 16 juin 2021 par Éric Thouzeau

    La loi « Sécurité globale » n’est certes pas abrogée, mais des dispositions essentielles portant gravement atteinte à la liberté de la presse et à la liberté de manifester sont annulées. La lutte n’est jamais inutile ! Elle doit se poursuivre sur le terrain social.

    Toutes celles et tous ceux qui on manifesté à de nombreuses reprises à l’appel des forces associatives, syndicales et politiques de gauche contre la loi « Sécurité globale » ont  gagné une victoire sans appel avec la censure du Schéma du Maintien de l’Ordre par le conseil d’Etat. Lire la suite…


  3. Éducation nationale : tout est bon pour valoriser le privé !

    Écrit le 16 juin 2021 par Éric Thouzeau

    Je reproduis ici un communiqué de presse de la Gauche démocratique et sociale (GDS44).

    A l’approche des épreuves de bac, la Gauche Démocratique et Sociale 44 dénonce le fait que les lycéens de l’enseignement public vont devoir aller passer les épreuves orales dans un établissement privé sous prétexte que le grand oral et les oraux de français se déroulent en même temps ! Blanquer montre là son peu d’attachement réel à la laïcité Lire la suite…


  4. Est-il trop tard ? Non, pas encore !

    Écrit le 10 juin 2021 par Éric Thouzeau

    A la sortie du confinement, après plus d’un an et demi de crise sanitaire, on devrait débattre du système de santé et de l’hôpital public. Alors que la pauvreté s’étend, que les salariés de première ou deuxième ligne sont toujours aussi mal payés, la question sociale devrait être au cœur des discussions. La biodiversité se porte mal, le changement climatique est rapide, la question écologique devrait être au centre des enjeux des élections régionales et départementales. Et pourtant l’extrême-droite réussit à imposer nombre de ses thèmes dans le débat médiatique actuel.

    Un réel danger d’extrême-droite

    Dans le débat électoral régional, on débat principalement de délinquance et d’immigration alors que les Régions n’ont aucune compétence en la matière. Zemmour, le chroniqueur d’extrême-droite condamné à plusieurs reprises pour provocation à la haine raciale, poursuit sa propagande sans susciter beaucoup d’émoi chez les responsables politiques des droites LREM et LR. Un commando royaliste envahit il y a quelques semaines le Conseil régional d’Occitanie, un youtubeur met en scène l’exécution d’un « gauchiste »,  un énergumène nourri aux vidéos et revues d’extrême-droite gifle Macron. Le RN risque d’arriver en tête le 20 juin dans de trop nombreuses régions, un RN dont nombre de candidats ont des comptes twitter avec des messages de haine contre les juifs et les musulmans. Il faut dire stop !

    Lire la suite…


  5. « Unité pour 2022 » en Pays de la Loire

    Écrit le 8 juin 2021 par Éric Thouzeau

    1400 citoyennes et citoyens des Pays de la Loire ont signé des appels (*) au rassemblement des gauches sociales et écologiques. Ils ont commencé à échanger et s’organisent dans les 5 départements de la région pour peser et imposer l’unité à gauche en 2022.

    Parler  aujourd’hui de l’unité pour les  élections de 2022 est une gageure alors que l’on est en pleine campagne des élections régionales et départementales…de 2021.

    Une gageure alors que les forces régionales de la gauche et de l’écologie ne sont pas actuellement rassemblées, même si elles devront l’être le 27 juin pour l’emporter.

    Le mode de scrutin des présidentielles est bien différent de celui des régionales. Sans candidat commun dès le premier tour, nous risquons alors de nous retrouver à nouveau dans un duel Macron-Le Pen, un duel entre l’extrême-libéralisme et l’extrême-droite. Lire la suite…