Macron, l’ami des patrons, a fait un choix : laisser les salarié.e.s aller au travail, mais les confiner dans leurs temps libres (couvre-feu le soir et confinement dans certains territoires le week-end).
La culture sacrifiée
Seules les économies de la culture et de la restauration sont sacrifiées. La culture est jugée « non essentielle » par ce gouvernement. En réaction, le mouvement d’occupation des lieux culturels s’étend dans le pays. Des manifestations pour la réouverture des salles de spectacle se multiplient.
Les revendications des professionnels de la culture portent sur des aspects qui les concernent très directement comme la prolongation de « l’année blanche » (prolongation des droits d’indemnisation pour les intermittents au-delà du 31 août 2021). Ils rejoignent aussi des revendications interprofessionnelles comme l’abandon de la scandaleuse réforme de l’assurance-chômage qui vise à faire des économies sur le dos des salariés privés d’emploi.